Egan Bernal confirme son retour sur le Tour de France
Egan Bernal tentera de reconquérir le Tour de France. Tour de France titre en 2022, a confirmé le coureur des Grenadiers Ineos.
Bernal a remporté le Tour de France avec style à seulement 22 ans en 2019, mais la sensation de grimpe a abandonné sur blessure à mi-chemin de l’édition 2020 et a sauté l’année suivante pour courir et gagner le Giro d’Italia.
En son absence, Tadej Pogacar, encore plus jeune, a remporté deux fois de suite le Tour de France et est désormais considéré comme l’homme à battre.
Mais la perspective de voir Bernal essayer d’arracher le titre à la main de fer de Pogacar est une proposition alléchante.
Lorsque le magazine cycliste Mundo Ciclistico a demandé à Bernal, qui aura 25 ans en janvier, s’il allait courir le Tour de France en 2022, il a confirmé qu’il le ferait.
« La réponse est oui », a déclaré Bernal. « C’est clair. Nous allons concentrer tous nos entraînements, nos préparations et notre force pour être prêts pour le Tour de France cette année. Il est temps de revenir, de revenir sur les chemins que nous avons trouvés en 2019, et dont je me suis légèrement éloigné ».
Comme le Giro d’Italia se termine moins de trois semaines avant le début du Tour en 2022, la nouvelle suggère qu’il manquerait probablement la course italienne, dont il parle si bien.
« Gagner le Giro a eu une énorme signification personnelle et sportive pour moi personnellement, mon équipe et les Colombiens », a déclaré celui qui a couru en tant que néo-pro en Italie. « Il a fallu une énorme force physique et mentale pour gagner le Giro, et je ne l’oublierai jamais ».
« Je pense que j’ai surmonté ma blessure au dos, mais les résultats sur le vélo montreront si c’est vrai », a-t-il déclaré au sujet de la douleur dorsale qui s’est manifestée lors de sa défense du Tour de France. Je vais commencer ma saison en Europe ».
Le site Tournée 2022 débute par trois étapes à Copenhague et, selon les mots de son concepteur Thierry Gouvenou, ne conviendra qu’aux « coureurs complets », capables de s’épanouir sur toutes les surfaces et dans toutes les conditions.
Bernal, qui a grandi dans les Andes, peut s’attendre à cinq arrivées en haute altitude, dont une à 2400 mètres.
Mais étant donné son petit gabarit, il risque d’avoir plus de mal sur les 17 km venteux du pont sur la mer au Danemark, sur les 19 km de pavés dans le bassin minier du nord de la France, ou sur les 40 km de contre-la-montre.